rabelais
Le mystère de la pile de Cinq-Mars — avec iCul gourmand
« Mon Dieu ! Qu'est-ce que ce monde ? » (dernières paroles sur l’échafaud de Henri Coëffier de Ruzé d'Effiat, marquis de Cinq-Mars, 1620-1642) … « [Cette jument] avait la queue horrible, car elle était, plus ou moins, grosse comme la pile de Saint Mars,...
De nos temps hurlububerluesques — avec un iCul ad hoc à la clé
Je ne me souviens plus si le mot « hurluberlu » fait partie de la panoplie des jurons & insultes du capitaine Haddock pour chasser les bachi-bouzouks, les anachorètes ou autres australopithèques de services et de légendes. Je me souviens par contre, que...
To be Shakespeare or not to be William (2/2)
« Good friend, for Jesus' sake forbear, To dig the dust enclosed here. Blest be the man that spares these stones, But cursed be he that moves my bones. » « Mon ami, pour l’amour du Sauveur, abstiens-toi De creuser la poussière déposée sur moi. Béni soit...
ICul d'un lent demain
Et maintenant que Noël est passé Les gens laissez-moi casser Mes jouets Note : Les jouets du lendemain de Noël sont souvent un peu comme, au lent demain d'élections, les promesses électorales de nos puissants et sinistres saigneurs-clowns con-temporains...
De Rabelais à Sade en passant par la Bastille, l'île d'Elbe,Charenton et l'abbaye de Thélème.
Portrait imaginaire du XIXème siècle, par H. Biberstein : Sade soumis aux quatre vents des suggestions diaboliques (Wikipédia) « Car comment pourrais-je, dit-il, gouverner autrui, qui moi-même gouverner ne saurais ? […] Fais ce que voudras » (Rabelais,...
Question du jour n° 392
Si les signes vous fâchent, ô combien vous fâcheront les choses signifiées. (Si les signes vous faschent, ô quant vous fascheront les choses signifiées) (François Rabelais, 1483-1553, le Tiers Livre, chapitre 20) A vec seulement deux « A », peut-on encore...
Lagan 69
Le Rire a toujours été le seul remède contre la misère, la solitude, le malheur, la connerie, la maladie ou la mort. A vrai dire, en nos jours paumés et technos en diable, comment peut-on prendre encore au sérieux des choses, des institutions, des idées...
Éloge de l’insolence
J ’aime bien le mot « insolence » Je ne sais pourquoi. Avec le temps, les gens, leurs histoires et leurs gestes, ce substantif a drainé tant de sens et de significations, qu’il est devenu une idée reçues des plus insolentes. On y lit les trois lettres...