Corps brûlés
Classé dans la série : « Haïkus et iculs » Enlacés, nos corps las de ces jeux ridicules, Sueurs mêlées, nous émulent Et je brûle. Fin de loup
De la statuaire et de la plus grande gloire consécutive de Martin Lothar
Classé dans la série : « Divers et d'autres saisons » Voilà ma déjanterie du dimanche soir. Comme, j’étais loin de mon blogue ce week-end, je vous sers du réchauffé, une note publiée le douze juin dernier que j’avais effacée très rapidement : Le loup...
Sieste forestière
Classé dans la série : « Haïkus et iculs » L’aimable tapis de mousse, près de la souche :Ombre et fraîcheur s’y attouchentEt je me couche. Fin de loup
L’an quarante (suite et fin)
Oui, suite et fin parce qu’on ne va pas y passer l’été... Finalement, après les deux seules propositions de STV et de Zeugme (qui en plus nous envoie sur un blogue pas triste), en commentaire de ma note du 26 juillet 2005 (apparemment, tout le monde,...
Les runes du loup-garou - Fragment n° 46
Classé dans la série : « Les runes du loup-garou » J'ai trouvé ça au fond de ma tanière parmi les feuilles et les ossements: Je suis un spermatozoïde dans tous ses états. (Michel Butor, Travaux d’approche) Fin de loup
Politesse de roi
Classé dans la série : « Haïkus et iculs » Je suis arrivé sur les lieux très à temps ; Seul, la salle est vide d’habitant Et j’attends. Fin de loup
Fumer un joint rendrait-il con ?
Classé dans la série : « Le loup savant » Certains médecins affirment que les drogues douces rendraient fou à la longue, aussi sûrement que les dures. A la lecture d’un fait divers, je me demande si elles ne rendent pas plutôt con : Un jeune texan voulant...
Les runes du loup-garou - Fragment n° 45
Classé dans la série : « Les runes du loup-garou » J'ai trouvé ça au fond de ma tanière parmi les feuilles et les ossements: Dédale et Icare sont le symbole de la partie fixe du magistère qui se volatilise. Dédale représente le premier soufre, d'où naît...
Et Thésée se taisait
Classé dans la série : « Haïkus et iculs » Dans le plus grand de mes labyrinthes, au centre, Le Minotaure sanglant se concentre Et j’entre. Fin de loup
Je m’en bats l’œil de l’an quarante
A une des mes questions sur un point d’un de mes projets, mon patron me répond : « J’en m’en fous comme de l’an quarante » Je connaissais évidemment cette expression, mais je ne me suis jamais vraiment préoccupé de savoir ce qu’était cet « an quarante...