De l’origine du haut et du bas con.
« La mort c'est un peu comme la connerie. Le mort, il ne sait pas qu’il est mort, ce sont les autres qui sont tristes. Pour le con,
c’est pareil… » Philippe Geluck.
Le mot « con » est sans aucun doute un des plus anciens de notre belle langue et c’est de nos jours, l’insulte sinon l’injure et l’interjection la plus employée au pays de Clovis, de Rabelais, de Voltaire, de Cambronne, de Brassens et de Nicolas Sarkozy.
D’ailleurs, ô con, ce dernier vient une fois plus de s’illustrer et de l’illustrer en illustrant vert l’étiquette d’un péquin et ce, en un lieu mythique de la France profonde et éternelle : Le salon de l’Agriculture.
Bon moi, vous le savez, si j’avais encore quelques affinités politiques, je n’en aurais sûrement pas pour Notre Saigneur président, mais pour une fois, je ne lui donne pas tord d’avoir prononcé sans le vouloir ce « pauvre con » qui tel un pavé ou autre couille médiatique fait encore déborder certaines mares ou potages de canards pressés ou ouébiques.
Pour le moins, je me mets à sa place (s’il ne peut s’y mettre calmement) et dès lors, j’aurais pour ma part non seulement répété audit péquin qu’il était un pauvre con méga grave à chier, mais en plus, je lui aurais mis sur sa grande gueule de con la main qu’il aurait refusé de me serrer en affirmant ne pas vouloir s’en salir.
Ce quidam de mes deux devrait en effet apprendre que les mots « démocratie » ou « société » qu’il doit avoir sans doute dans la bouche ou au bord de l’anus à longueur de sa vie de merde signifie un comportement politique réservé aux gens respectueux de l’opinion de ses concitoyens sinon de ses congénères même si le vote est de plus en plus un piège à cons.
A injurier bêtement, on se fait insulter ou du moins, on se fait envoyer justement se faire voir chez les Grecs Turcs ou les Albanais.
L’injure, l’insulte et l’invective sont des armes à double tranchant dont le maniement sans danger requiert une grande expertise, une vaste culture ou du moins un minimum d’intelligence, sinon d’éducation.
Ceci étant, ce n’est pas la première fois qu’un président de la République française a quelque écart de langage indigne ou pas de son rang et de sa fonction : De Gaulle avait bien qualifié les Français de « veaux » et Mitterrand avait traité de « chiens » certains journalistes trop aboyeurs.
Si ces deux hommes d’Etat sont en l’état, morts, les Français n’en restent pas moins un troupeau avachi de veaux cons comme leurs cornes, aboyés en panique par des clébards pouilleux, ringards et sycophantes.
Pour en revenir au glorieux mot con, l’incontournable encyclopédie Wikipedia consacre à ce monument de la civilisation française un long article bien intéressant et documenté (en lien en fin de cette note)
Où l’on apprend ou l’on réapprend qu’à l’origine, le con désignait le sexe féminin ; qu’à l’instar de ce dernier, il nous vient des fonds des âges sinon de la plus haute Antiquité et qu’il n’a été remis que très récemment dans le vocabulaire vulgaire ou officiel tout en changeant de sens. Il est en devenu un « gros mot » comme synonyme de « niais », puis de « bête et méchant » et enfin une insulte, une injure, une expression en forme de couteau suisse.
Ce mot est au demeurant (et au demeuré) si utilisé qu’il en perd d’ailleurs à la fois ses origines, ses sens précis et son mordant (pour ne pas dire son venin).
De nos jours en effet, le mot « con » est urticant, réactif, défensif, machinal, spontané, comminatoire ; le « con » est populaire, militaire, poétique, agressif, politique. Le « con » est snob, bobo, de gauche comme de droite et de bon ou de mauvais ton et aloi ; le « con » est héroïque, de haute et de basse noblesse ; le « con » est raciste, royal, jubilatoire, incantatoire, réactionnaire et rhétorique.
Le « con » est impérial, haddockien ou anarchiste ; le « con » est pavlovien, gaulois en diable et en Toutatis ; le con est cosmique, astronomique, polysémique, universel et enfin quantique.
Quelle destinée et que de « lettres de noblesse » désormais pour un si petit mot de seulement trois lettres et d’une syllabe dont les origines sont barbares voire obscures et qui fut pendant des siècles banni honteux de tout discours et de tout texte !
Le mot « con » devrait désormais avoir assurément sa place de choix dans les plus grands dictionnaires et autres panthéons linguistiques ; en trônant flamboyant sur un piédestal en or massif aux côtés des « Liberté » « Laguiole » « fraternité » « pandiculation » « égalité » « brimborion » « Champagne » « oxymoron » « Beaujolais » « ornithorynque » « Camembert » « palimpseste » et autre « anticonstitutionnellement » des familles franchouillardes !
Pour ce qui concerne l’étymologie du mot « con » tout le monde s’accorde sur le mot latin « cunnus » (vulve ou coin, creux) qui dériva sur un « cuniculus » puis en vieux Français « connil et connin » désignant le lapin.
Ce « cunnus » latin proviendrait d’un mot indo-européen «*kust » (intestin, rein, vessie) «*sker » (couper) ou encore de «*(s)keu » (cacher)
Or donc, comme nous sommes tous des cons quelque part, nous n’en sortons tous pas moins de l’antique con de la vierge déesse Mère comme des lapins du chapeau du magicien du monde.
Sans penser que cette explication étymologique est une connerie grosse comme le braquemart du Grand Pan, je vais en rajouter là, sous vos yeux et méninges éblouis, de ma propre thèse hardie, lupine et néanmoins garoue :
J’affirme en effet qu’avant de désigner le sexe féminin, le mot con ne signifiait pas autre chose qu’un vulgaire « jambon »
Pour le prouver, je vous rappelle que le très british « bacon » des œufs incontournables de tout breakfast britannique qui se respecte de sa Reine, d’Oxford, de Cambridge et de leur Rule est un mot d’origine plus française tu meurs ! (Honni soit qui mal y pense !)
Maître François Rabelais l’employa bien souvent pour parler des jambons de France, de Thélème et de Navarre et l’orthographia parfois par « bas con »
Le mot français « bacon » (jambon) attesté depuis au moins le siècle n° 13, viendrait du Francique « bakko » (jambon ?) et dériva en « baconer » (dépecer un jambon) et « baconier » (Celui qui vend ou fait du bacon, du jambon, un charcutier enfin)
Or donc, le mot « con » n’a rien a faire avec les lapins, mais avec les cochons qui dans le bas coin de leur corps engraisse du « bas con » en n’arrêtant pas comme d’autres gens bons de faire le « con » dans le « con » de leur truie. CQFD !
C’est pourquoi tous les hommes sont des cons et que ce sont aussi tous des cochons.
[NDA : Ici reposait avant autocensure un passage un peu scabreux garni des mots jambon, crème, torchon, con, serviette, cru, à l’os, périodique]
Le mot « con » vient donc du con jambonnant du cochon et ne désigna le blason du sexe faible que beaucoup plus tard et du moins par un artifice en flou artistique.
Si ma thèse est conne pour certains, elle a pour mérite (agricole) au moins de rapprocher le plus puissant mot français du totem magique et sacré de toutes les Gaules romaines ou pas et de tous les Gaulois, Celtes ou pas, cons ou pas : Le Sanglier !
Vive le con !
Vive le cochon !
Vive le jambon !
Vive Bayonne, les Ardennes, l’Ardèche, l’Auvergne, la Vendée, la Savoie, la Corse, Aoste, Parme, Paris, York, la Westphalie et la Forêt-noire !
Et surtout : M.A.C. ! Morts Aux Cons ! (affreux, sales, méchants, riches ou pauvres)
Illustration : Gustave COURBET (1819-1877) L’origine du monde (1866) Musée d’Orsay, Paris.
Willem Claesz HEDA, (vers 1594-1680, Haarlem) Nature morte au jambon (1651) Collection du prince de Liechtenstein, Vaduz.
Référence : Article pas con sur le mot con : in Wikipedia
Fin de loup
Le mot « con » est sans aucun doute un des plus anciens de notre belle langue et c’est de nos jours, l’insulte sinon l’injure et l’interjection la plus employée au pays de Clovis, de Rabelais, de Voltaire, de Cambronne, de Brassens et de Nicolas Sarkozy.
D’ailleurs, ô con, ce dernier vient une fois plus de s’illustrer et de l’illustrer en illustrant vert l’étiquette d’un péquin et ce, en un lieu mythique de la France profonde et éternelle : Le salon de l’Agriculture.
Bon moi, vous le savez, si j’avais encore quelques affinités politiques, je n’en aurais sûrement pas pour Notre Saigneur président, mais pour une fois, je ne lui donne pas tord d’avoir prononcé sans le vouloir ce « pauvre con » qui tel un pavé ou autre couille médiatique fait encore déborder certaines mares ou potages de canards pressés ou ouébiques.
Pour le moins, je me mets à sa place (s’il ne peut s’y mettre calmement) et dès lors, j’aurais pour ma part non seulement répété audit péquin qu’il était un pauvre con méga grave à chier, mais en plus, je lui aurais mis sur sa grande gueule de con la main qu’il aurait refusé de me serrer en affirmant ne pas vouloir s’en salir.
Ce quidam de mes deux devrait en effet apprendre que les mots « démocratie » ou « société » qu’il doit avoir sans doute dans la bouche ou au bord de l’anus à longueur de sa vie de merde signifie un comportement politique réservé aux gens respectueux de l’opinion de ses concitoyens sinon de ses congénères même si le vote est de plus en plus un piège à cons.
A injurier bêtement, on se fait insulter ou du moins, on se fait envoyer justement se faire voir chez les Grecs Turcs ou les Albanais.
L’injure, l’insulte et l’invective sont des armes à double tranchant dont le maniement sans danger requiert une grande expertise, une vaste culture ou du moins un minimum d’intelligence, sinon d’éducation.
Ceci étant, ce n’est pas la première fois qu’un président de la République française a quelque écart de langage indigne ou pas de son rang et de sa fonction : De Gaulle avait bien qualifié les Français de « veaux » et Mitterrand avait traité de « chiens » certains journalistes trop aboyeurs.
Si ces deux hommes d’Etat sont en l’état, morts, les Français n’en restent pas moins un troupeau avachi de veaux cons comme leurs cornes, aboyés en panique par des clébards pouilleux, ringards et sycophantes.
Pour en revenir au glorieux mot con, l’incontournable encyclopédie Wikipedia consacre à ce monument de la civilisation française un long article bien intéressant et documenté (en lien en fin de cette note)
Où l’on apprend ou l’on réapprend qu’à l’origine, le con désignait le sexe féminin ; qu’à l’instar de ce dernier, il nous vient des fonds des âges sinon de la plus haute Antiquité et qu’il n’a été remis que très récemment dans le vocabulaire vulgaire ou officiel tout en changeant de sens. Il est en devenu un « gros mot » comme synonyme de « niais », puis de « bête et méchant » et enfin une insulte, une injure, une expression en forme de couteau suisse.
Ce mot est au demeurant (et au demeuré) si utilisé qu’il en perd d’ailleurs à la fois ses origines, ses sens précis et son mordant (pour ne pas dire son venin).
De nos jours en effet, le mot « con » est urticant, réactif, défensif, machinal, spontané, comminatoire ; le « con » est populaire, militaire, poétique, agressif, politique. Le « con » est snob, bobo, de gauche comme de droite et de bon ou de mauvais ton et aloi ; le « con » est héroïque, de haute et de basse noblesse ; le « con » est raciste, royal, jubilatoire, incantatoire, réactionnaire et rhétorique.
Le « con » est impérial, haddockien ou anarchiste ; le « con » est pavlovien, gaulois en diable et en Toutatis ; le con est cosmique, astronomique, polysémique, universel et enfin quantique.
Quelle destinée et que de « lettres de noblesse » désormais pour un si petit mot de seulement trois lettres et d’une syllabe dont les origines sont barbares voire obscures et qui fut pendant des siècles banni honteux de tout discours et de tout texte !
Le mot « con » devrait désormais avoir assurément sa place de choix dans les plus grands dictionnaires et autres panthéons linguistiques ; en trônant flamboyant sur un piédestal en or massif aux côtés des « Liberté » « Laguiole » « fraternité » « pandiculation » « égalité » « brimborion » « Champagne » « oxymoron » « Beaujolais » « ornithorynque » « Camembert » « palimpseste » et autre « anticonstitutionnellement » des familles franchouillardes !
Pour ce qui concerne l’étymologie du mot « con » tout le monde s’accorde sur le mot latin « cunnus » (vulve ou coin, creux) qui dériva sur un « cuniculus » puis en vieux Français « connil et connin » désignant le lapin.
Ce « cunnus » latin proviendrait d’un mot indo-européen «*kust » (intestin, rein, vessie) «*sker » (couper) ou encore de «*(s)keu » (cacher)
Or donc, comme nous sommes tous des cons quelque part, nous n’en sortons tous pas moins de l’antique con de la vierge déesse Mère comme des lapins du chapeau du magicien du monde.
Sans penser que cette explication étymologique est une connerie grosse comme le braquemart du Grand Pan, je vais en rajouter là, sous vos yeux et méninges éblouis, de ma propre thèse hardie, lupine et néanmoins garoue :
J’affirme en effet qu’avant de désigner le sexe féminin, le mot con ne signifiait pas autre chose qu’un vulgaire « jambon »
Pour le prouver, je vous rappelle que le très british « bacon » des œufs incontournables de tout breakfast britannique qui se respecte de sa Reine, d’Oxford, de Cambridge et de leur Rule est un mot d’origine plus française tu meurs ! (Honni soit qui mal y pense !)
Maître François Rabelais l’employa bien souvent pour parler des jambons de France, de Thélème et de Navarre et l’orthographia parfois par « bas con »
Le mot français « bacon » (jambon) attesté depuis au moins le siècle n° 13, viendrait du Francique « bakko » (jambon ?) et dériva en « baconer » (dépecer un jambon) et « baconier » (Celui qui vend ou fait du bacon, du jambon, un charcutier enfin)
Or donc, le mot « con » n’a rien a faire avec les lapins, mais avec les cochons qui dans le bas coin de leur corps engraisse du « bas con » en n’arrêtant pas comme d’autres gens bons de faire le « con » dans le « con » de leur truie. CQFD !
C’est pourquoi tous les hommes sont des cons et que ce sont aussi tous des cochons.
[NDA : Ici reposait avant autocensure un passage un peu scabreux garni des mots jambon, crème, torchon, con, serviette, cru, à l’os, périodique]
Le mot « con » vient donc du con jambonnant du cochon et ne désigna le blason du sexe faible que beaucoup plus tard et du moins par un artifice en flou artistique.
Si ma thèse est conne pour certains, elle a pour mérite (agricole) au moins de rapprocher le plus puissant mot français du totem magique et sacré de toutes les Gaules romaines ou pas et de tous les Gaulois, Celtes ou pas, cons ou pas : Le Sanglier !
Vive le con !
Vive le cochon !
Vive le jambon !
Vive Bayonne, les Ardennes, l’Ardèche, l’Auvergne, la Vendée, la Savoie, la Corse, Aoste, Parme, Paris, York, la Westphalie et la Forêt-noire !
Et surtout : M.A.C. ! Morts Aux Cons ! (affreux, sales, méchants, riches ou pauvres)
Illustration : Gustave COURBET (1819-1877) L’origine du monde (1866) Musée d’Orsay, Paris.
Willem Claesz HEDA, (vers 1594-1680, Haarlem) Nature morte au jambon (1651) Collection du prince de Liechtenstein, Vaduz.
Référence : Article pas con sur le mot con : in Wikipedia
Fin de loup
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