Fier de la bête

18 Septembre 2010 , Rédigé par Martin-Lothar Publié dans #Divers et d'autres saisons

Mon archipote Werewolf, loup-garou (comme le signifie son pseudo anglo & saxon, bandes de cancres las), vice futur empereur d’Occident (car tel est mon bon plaisir et son mérite, ah, mais), Picard sentant certes un peu le Rouchi, Lotharingien pur sang, calembourjoyeux de première bourre, grand amateur de bière, et exilé dans le bas Varois (ah ! ah ! c’en est un qu’il ne fera pas), Werewolf, disais-je, m’a envoyé cet été, la photo ci-dessus.

Nous pouvons donc être « fier de la bête », le loup, car, eu égard à mon totem, j’adore la bière, boisson aussi gouteuse, divine, belle, ancestrale et civilisatrice que notre bon vin de nos belles vignes de partout et même d’ailleurs de chez Paou.

« Fier de la bête » contrepet impérial, lupin et de circonstance, car aujourd’hui s’ouvre la « fête de la bière » en notre belle, riche, franque, cousine, germaine et industrieuse ville de Munich, Bavière, Allemagne, Europe, hémisphère nord, Occident, planète Terre, système solaire, Voie Lactée, Univers et plus loin, je donne ma langue aux Martiens.

Ils vont donc être nombreux, allemands et d’autres poils, à garer comme ils pourront leur BMW (star war), pour aller aller boire, vomir et pisser de multiples bocks d’une infâme bibine de chez Pissedane, il faut le dire, en s’étouffant de cochon et de choux (dans lequel tout est bon, mais je l’ai déjà dit) pour fêter cette boisson qui n’est plus ce qu’elle fut, hélas.
Je reparlerai de la bière qui, en bon français, signifie à la fois « cervoise » moussante en verre (avec faux col ou pas) et aussi « cercueil » avec mousse (végétale) et vers (poétiques en requiem ou annélides pour le dernier repas — beurk !)

Tiens, je vais me siroter de ce pas une bonne Leffe belge et le premier qui me trappe pour ça, aille se faire foutre et mousser dans la dernière ténébreuse, moderne et panurgienne abbaye laïque venue.
Ah mais !

À ta santé, mon bon Werewolf !

Fin de loup