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Un Manuel de Survie

Il faut que je m’en aille…

17 Juin 2007 , Rédigé par Martin-Lothar Publié dans #Quantiques du loup

Le temps est loin de nos vingt ans
Des coups de poings, des coups de sang,
Mais qu'à cela ne tienne, c’est pas fini
On peut chanter quand le verre est bien rempli.
Buvons encore une dernière fois
A l’amitié, l’amour, la joie.
On a fêté nos retrouvailles ;
Ça me fait de la peine, mais il faut que je m’en aille.

 

Note : Je vais sans doute trahir mon âge en disant que cette chanson « Il faut que je m’en aille » de Graeme Allwright (né en 1926) a bercé mon adolescence.
Elle est un peu niaise sans doute, mais elle résonne sans cesse au fond de moi.
Quand, c’est parti, ça revient toujours…
Graeme Allwright est un chanteur français né en Nouvelle-Zélande.
Il a adapté et chanté les « protest songs » des années 60 et 70 dont certaines de Bob Dylan.
Il a adapté et chanté aussi et surtout, avec talent, des chansons de Leonard Cohen.
Il a fait un superbe album de chansons traduites en Anglais de Georges Brassens. (Les amateurs comme moi ont apprécié, croyez-moi)

Graeme Allwright est promu loup-garou de première classe dans l’Ordre du Loup-Garou.
Car tel est mon bon plaisir.
Ah mais !
Ceci étant, je ne m’en vais pas hein !
A demain !

Fin de loup

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D
Moi, j'avais un faible pour "Jolie bouteille, sacrée bouteille, veux-tu me laisser tranquil-le", mais je suppose que ça ne surprendra personne...
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A
Mais qu'à cela ne tienne c'est pas fini!
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L
oui vraiment, quand j'ai lu le titre j'ai eu un choc et mon coeur s'est accéléré: j'ai vraiment cru que tu allais fermer ce blog.heureuse de lire à nouveaubises
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T
Une des chansons que je j'adorais chanter à bibou quand il était tout mini-petit-bébé était "Petit garçon" :)
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P
il prend un malin plaisir à nous faire peur, ce loup ! bon, sinon, Graeme Allwright me rappelle les veillées de colonies de vacances ( oui, on disait comme ça à l'époque) durant lesquelles je cassais les oreilles de tout le monde avec ma guitare ... j'ai dû en traumatiser plus d'un !bises
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G
Ah!la lune sur la plage, le sable dans l'élastique du maillot, les dernières merguez qui finissent de cramer,les moustiques sur les coups de soleil, et le feu qui s'éteint doucement pendant que le boutonneux de service chante ça en grattant sa guitare ! C'était l'époque des bandeaux de soie indienne, de Joan Baez, des peaux de bique brodées ...Le vrai nom de Graeme, au fait, c'était pas Madeleine de Proust ?
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P
ouf !!!
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