A part Ted d’Oeuf…
8 Mars 2007 Publié dans #Divers et d'autres saisons
Mes fidèles et bien aimés lecteurs de chez Tousexe & Toutâge & Toutpoil connaissent par trop ma passion pour l’œuf (de tout cul) que j’ai souvent évoqué dans ma série « Dans gueule du loup » (En lien aussi à gauche, pub)
L’œuf d’oiseau (ou pas) comme l’amour est un oiseau rebelle.
Il est même un rebelle dans lui-même qu’il faut tôt mater – et surtout surveiller ferme si on ne veut pas trop faire d’omelette alors que l’on a envie de manger autre chose.
Surtout, si l’on a un besoin gourmand et raciste de séparer le jaune du blanc pour faire des spaghettis à la « Carbonara » par exemple.
Or donc pour séparer le blanc d’un jaune d’œuf, il y a deux méthodes : La traditionnelle et la techno.
La méthode traditionnelle a été remarquablement exposée par Alf le Chat en commentaire de ma question n° 177 : « Il suffit de faire passer le jaune d'une demie coquille à l'autre » (Fin de citation)
Certes, mais quand on est manche comme moi, généralement le blanc ou le jaune (voire les deux) se retrouvent dans un azimut différent des prévisions de la recette ou les plans du maître queue.
C’est la serpillière qui se régale alors (La chienne !)
La méthode techno utilise un appareil révolutionnaire du feu de dieu dont je recopie l’image ici-bas :
Cet engin révolutionnaire en plastique moulé, qui ne pèse pas plus de 20 g et ne coûtant pas plus cher que la peau des fesses d’un cafard Pygmée nain, se place sur n’importe quelle tasse.
Il suffit alors de cogner délicatement notre œuf contre une indentation prévue à cet effet et le contenu glisse alors en un clin d’œil et en un tournemain dans le creux de l’appareil.
Quelques secondes et quelques délicates secousses (voire vibrations tournoyantes) après, le jaune se sépare sans aucun regret de son collant et visqueux blanc à jeter ou à battre en neige du Kilimandjaro (ou pas)
Sauf à taper l’œuf trop fort, il n’y a plus ni jurons, ni taches infâmes gluantes graves partout où il ne faut pas.
Ce séparateur est un de ces gadgets, simples, efficaces et malins que mes parents, cuisiniers de paire et hors paires adoraient et collectionnaient.
A n’en point douter, ce machin est une des plus grande invention de l’Homo Sapiens Sapionce à l’égal de l’eau tiède, la trottinette pliable ou la cinquième constitution de la République Française.
Je vous aurais prévenus !
Fin de loup
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