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Martin-Lothar

L’iCul de la Neuvième

8 Mai 2024 , Rédigé par GJG Publié dans #Bach & fils, #Beethoven, #iCuls & haïkus, #Europe

L’iCul de la Neuvième

mes amis entendez-vous l’harmonie
de cette symphonie
inouïe

Hier, on a célébré (entre autres) le bicentenaire de la première représentation de la neuvième symphonie de LVB alias Ludwig van Beethoven.
C’est en effet un 7 mai 1824 que les Viennois ont entendu pour la première fois cette « chose musicale » qui, au dire de nombreux certains, devait révolutionner l’art de la symphonie. C’est du moins ce que pensait Richard (Wagner, pas Anthony).

Quelque cent vingt ans plus tard, l’hymne officiel de la Communauté européenne, « l’Ode à la Joie » sera tiré (voire trituré) du quatrième mouvement de cette œuvre ; ce qui n’est pas rien, mais ce qui n’est pas tout non plus, hein.
Faut dire qu’en 1824, l’Europe pouvait se reposer un peu de plus de trente ans d’élucubrations françaises qui eux, n’auront pas révolutionné la valse sinistre et éternelle des fausses paix et des vraies guerres.
Mais bon…

Ce sept mai, notre Ludwig est alors entré dans la légende musicale et sa dernière symphonie fut mise à toutes les sauces les plus incroyables et surtout, les plus inaudibles ; ce qui ne n’aurait jamais gêné son compositeur, car comme disait je ne sais plus quel imbécile d’humoriste : « Beetoven était tellement sourd que toute sa vie il a cru faire de la peinture ».
Désolé…

Moi qui ne suis pas un grand amateur de symphonie, j’avoue que la neuvième a de la gueule.

On t’aime LVB, reste avec nous !

N.B. Hier soir sur Arte, les quatre mouvements de cette neuvième ont été interprétés par quatre orchestres différents à Leipsig, Paris, Milan et Vienne.

Illustration : Moritz von SCHWIND, (1804-1871), Une Symphonie, 1852, Huile sur toile, 169 x 100 cm, Neue Pinakothek, Munich, Europe.

Fin de loup
 

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