Patate chaude cuisinée aux six épices et plus si affinité
Notre &@@&é% et néanmoins adorable et indispensable Mademoiselle Moi (en lien
aussi à droite, pub) m’a refilé lâchement une patate chaude à cuisiner et dont le menu (copié collé) est le suivant :
N’ayant rien à refuser à cette &@@&é% de fille, je m’exécute :
Question 1 : Un aliment ou produit que je n'aime pas du tout.
Bon déjà, ça commence très mal pour moi.
Il me faut en effet vous dire les gens que mes cinq frangins et moi nous n’avons pas seulement été élevés, instruits et éduqués comme nos saints parents l’ont pu ou voulu, mais en plus nous avons été bien élevés, bien éduqués et bien instruits.
Or donc, si nous avions le droit de dire « je n’aime pas » encore fallait-il que nous avalions sans cinéma ou autre festival de Cannes tout ce qu’on nous servait.
Et tout ce qu’on nous servait, à vrai dire, était rarement mauvais (Pour ne pas dire toujours excellent)
Bref, je n’aime pas du tout ni l’amanite phalloïde ni la nitroglycérine.
Question 2 : Mes trois aliments favoris.
Pour moi aliment = Plat !
Bon là, j’en ai déjà causé sur ce blogue et mes trois plats favoris sont simples, conviviaux et familiaux en diable et en fratrie :
La blanquette de veau !
Il n’y a rien de plus simple et de plus difficile à faire qu’une fameuse blanquette de veau.
Il faut une viande ni trop sèche ni trop grasse que l’on fera mariner à vau-l’eau et autant que l’on pourra dans des épices et des petits légumes sortis tout nus et tout frais du jardin.
Il faudra une sauce blanche pleine de beurre et de crème sortis tout crus du et tout chauds du pis de la meilleure des vache.
Forts de cela cependant, cette blanquette a un secret d’alchimiste sans ou avec lequel, elle sera nulle ou divine.
Je ne révèlerai ce secret qu’aux gens que j’aime vraiment. Ah mais !
Le hachis de mouton :
Les loups adorent le mouton, c’est d’adage de tout âge sinon proverbial et ce, non seulement pour chasser et éliminer sa bêtise panurgienne, mais aussi pour se repaître de sa chair savoureuse et bucolique. Le loup vénère surtout la chair du mouton quand elle se transcende dans une immanence gastronomique ultime et alchimique : Le hachis de mouton !
Grosso modo : Faites cuire pas trop un gros gigot d’agneau ou de mouton ; désosser le ; hacher le.
Mettez le hachis dans un casserole avec moulte fines herbes, ail, et oignons grelots.
Arrosez le tout d’un bon vin rouge et d’un bouillon corsé de bonne cave et de bonne cuve et laissez mijoter en attendant le temps qu’il faudra à goûter toutes les cinq minutes debout devant la cuisinière.
Attention : Il ne faut pas que ce soit ni trop sec ni trop liquide.
Une fois cuit, vous servez le tout agrémenté de crouton de pain frits (frottés préalablement à l’ail) et des frittes ou à la rigueur des pommes vapeur.
Vous pourrez boire avec ça un vénérable bourgogne bien rouge et couillu au cul d’un bon fagot.
Une bonne sieste s’impose après…
Le pot-au-feu
Le pot-au-feu est sans doute à l’Occident ce que la couscous ou la tajine est au Moyen-Orient et l’assiette des sept mondes est à l’Asie.
Un pot pourri, bouilli, ultime et généreux de toutes les viandes, épices, herbes, racines et légumes qui soient ou croissent encore purs sur cette planète.
Le pot-au-feu académique n’est que de bœuf, mais l’authentique foutra dans la même marmite toutes les viandes de la terre.
Et surtout, il ajoutera à mi-cuisson ce qu’il faut d’os à moelle !
Chez nous les enfants loups, la cérémonie de l’os à moelle du pot-au-feu équivalait à l’eucharistie des catholiques apostoliques et romains (C’est une image hein !)
Quand le pot-au-feu était sur la table, dans un silence général à fendre au couteau, le Père vidait les os à moelle sur des tartines grillées.
Il les assaisonnait de sel et de poivre, puis il les coupait en part égales au nombre de convives (Huit au plus beau et au plus haut des temps)
Et tous en fermant sa gueule au possible et en prenant tout son temps de déguster ce trésor de cholestérol, de substantifique moelle, ce bout de paradis et de bonheur enfin réunis !
Je ne vous dis que ça !
Question 3 : Ma recette favorite.
J’entends par « recette favorite » un plat que l’on sait faire couramment et surtout facilement et rapidement pour un célibataire de ma vieille condition, par exemple.
Or donc, pour moi c’est le poulet « vallée d’Auge »
La vallée d’Auge étant en Normandie de chez France, il s’agit d’une fricassée de morceaux de cette volaille, flambés préalablement au calva et plombés de carottes, d’oignons et de céleri que l’on abreuvera en fin de cuisson d’un déluge de crème et de beurre.
On servira avec des pommes de l’air (poêlées) comme de terre (vapeur)
Le tout se mangera accompagné d’un bon cidre bien de chez nous et de tous les Guillaume bâtard conquérant ou pas, voire d’un rouge très léger (Un vin de Loire par exemple) d’un Chablis du Tonnerre de Brest ou de préférence de lionne pour ne pas dire de l’Yonne ou encore pour faire quantique en diable, d’un Gewurztraminer de chez Alsace.
Mais c’est vous qui voyez ; mangez et buvez hein !
Question 4 : Ma boisson favorite.
Pour être né tout nu et tout petit au nord de la Seine des Picards ou des Chtis, sans concession, ma boisson favorite est la bière.
J’en reparlerai de cette antique et celtique cervoise et sur ce blogue évidemment ! Rassurez-vous : Je ne cracherai jamais sur aucun vin de toute couleur, poil, âge ou cépage ou sur aucun whisky, sur aucune gnole goûteuse de tous ses grains ou fruits, sur aucun pastis, sur aucun porto ou autre Baume de Venise !
Quant à la flotte, ma moitié d’Auvergnat ne pourra boire que celle de Volvic ou d’autres volcans minéraux ! Ah mais, fouchtra merde quoi !
Question 5 : Le plat que je rêve de réaliser et que je n'ai toujours pas fait.
Ce plat est en fait mon dessert préféré : Les œufs à la neige ! (Ou îles flottantes pour les académichiens)
C’est le dessert que ma môman me préparait à chaque anniversaire !
Le problème quantique est que sur ce genre de plat on ne peut planter des bougies hein !
Or donc, notre mère faisait en même temps un de ces gâteaux au chocolat à faire pleurer et hurler de bonheur tous les loups de la terre et sur lequel on plantait les flambeaux que je soufflais d’un seul souffle (évidemment hein !)
Comme mes chancres de frères adoraient ce gâteau au chocolat, j’attendais qu’ils s’en empiffrent à en vomir pour me taper ensuite tranquillement tous les œufs à la neige ! (Trop fort le loup !)
Ceci étant, je ne sais pas pourquoi je n’ai jamais voulu me lancer dans une telle aventure d’œufs, de neige et d’îles flottante ou pas…
Question 6 : Mon meilleur souvenir culinaire.
Cette question « tombe » bien tiens ! (C’est le cas de le dire !)
Car en fait, mon plus grand « coït » gastronomique se passa en Auvergne après que mes parents et moi visitâmes la stèle où repose à jamais les mânes, voire les cendres de mon grand-père paternel (1887-1945). A Aubière près de Clermont-Ferrand…
Je ne me souviens plus ni du nom ni du patelin de ce restaurant (étoilé chez Michelin évidemment, merci Papa) où j’ai dégusté à en faillir un turbot au champagne !
Pour les cancres las qui mâchent bêtement leur malabar au fond de la blogosphère, je précise que le turbot est un poisson impérial, sublime, divin, galactique !
Le champagne, je ne le présente pas hein !
Les deux ensemble…
Putain de vie et de planète !
Voilà les gens, j’ai cuisiné comme j’ai pu ma patate chaude et maintenant je l’envoie en taguant six garçons de la balle, de salle, de bonne table et surtout de dessous de la table et de ma liste de liens à droite, pub :
Je tague Prax (On va sans doute bouffer basque)
Je tague Daniel Paillé (On va sans doute bouffer québécois et de bonne famille)
Je tague Gino Gordon (On va sans doute bouffer Picardo-Corse)
Je tague Mandolino (On va sans doute bouffer jeune, chic et ch’ti)
Je tague Didier Goux (On va sans doute bouffer haut ou bas normand)
Je tague Servum Pecus (On va sans doute bouffer en suisse bio ou bio en Suisse)
Illustration : Pieter BRUEGEL l’Ancien (Vers 1525-1569) Mariage paysan, (1568) Huile sur bois (114 x 164 cm) Kunsthistorisches Museum, Vienne (Autriche)
Fin de loup (C'est de circonstance hein !)
- Mettre le lien de qui m'a taguée (hop)
- Mettre le règlement sur mon blog (zou)
- Répondre aux 6 questions suivantes (pof)
- Taguer 6 personnes à la fin du billet en mettant leur lien (tagada)
- Avertir directement sur leur blog les personnes taguées. (vroum)
N’ayant rien à refuser à cette &@@&é% de fille, je m’exécute :
Question 1 : Un aliment ou produit que je n'aime pas du tout.
Bon déjà, ça commence très mal pour moi.
Il me faut en effet vous dire les gens que mes cinq frangins et moi nous n’avons pas seulement été élevés, instruits et éduqués comme nos saints parents l’ont pu ou voulu, mais en plus nous avons été bien élevés, bien éduqués et bien instruits.
Or donc, si nous avions le droit de dire « je n’aime pas » encore fallait-il que nous avalions sans cinéma ou autre festival de Cannes tout ce qu’on nous servait.
Et tout ce qu’on nous servait, à vrai dire, était rarement mauvais (Pour ne pas dire toujours excellent)
Bref, je n’aime pas du tout ni l’amanite phalloïde ni la nitroglycérine.
Question 2 : Mes trois aliments favoris.
Pour moi aliment = Plat !
Bon là, j’en ai déjà causé sur ce blogue et mes trois plats favoris sont simples, conviviaux et familiaux en diable et en fratrie :
La blanquette de veau !
Il n’y a rien de plus simple et de plus difficile à faire qu’une fameuse blanquette de veau.
Il faut une viande ni trop sèche ni trop grasse que l’on fera mariner à vau-l’eau et autant que l’on pourra dans des épices et des petits légumes sortis tout nus et tout frais du jardin.
Il faudra une sauce blanche pleine de beurre et de crème sortis tout crus du et tout chauds du pis de la meilleure des vache.
Forts de cela cependant, cette blanquette a un secret d’alchimiste sans ou avec lequel, elle sera nulle ou divine.
Je ne révèlerai ce secret qu’aux gens que j’aime vraiment. Ah mais !
Le hachis de mouton :
Les loups adorent le mouton, c’est d’adage de tout âge sinon proverbial et ce, non seulement pour chasser et éliminer sa bêtise panurgienne, mais aussi pour se repaître de sa chair savoureuse et bucolique. Le loup vénère surtout la chair du mouton quand elle se transcende dans une immanence gastronomique ultime et alchimique : Le hachis de mouton !
Grosso modo : Faites cuire pas trop un gros gigot d’agneau ou de mouton ; désosser le ; hacher le.
Mettez le hachis dans un casserole avec moulte fines herbes, ail, et oignons grelots.
Arrosez le tout d’un bon vin rouge et d’un bouillon corsé de bonne cave et de bonne cuve et laissez mijoter en attendant le temps qu’il faudra à goûter toutes les cinq minutes debout devant la cuisinière.
Attention : Il ne faut pas que ce soit ni trop sec ni trop liquide.
Une fois cuit, vous servez le tout agrémenté de crouton de pain frits (frottés préalablement à l’ail) et des frittes ou à la rigueur des pommes vapeur.
Vous pourrez boire avec ça un vénérable bourgogne bien rouge et couillu au cul d’un bon fagot.
Une bonne sieste s’impose après…
Le pot-au-feu
Le pot-au-feu est sans doute à l’Occident ce que la couscous ou la tajine est au Moyen-Orient et l’assiette des sept mondes est à l’Asie.
Un pot pourri, bouilli, ultime et généreux de toutes les viandes, épices, herbes, racines et légumes qui soient ou croissent encore purs sur cette planète.
Le pot-au-feu académique n’est que de bœuf, mais l’authentique foutra dans la même marmite toutes les viandes de la terre.
Et surtout, il ajoutera à mi-cuisson ce qu’il faut d’os à moelle !
Chez nous les enfants loups, la cérémonie de l’os à moelle du pot-au-feu équivalait à l’eucharistie des catholiques apostoliques et romains (C’est une image hein !)
Quand le pot-au-feu était sur la table, dans un silence général à fendre au couteau, le Père vidait les os à moelle sur des tartines grillées.
Il les assaisonnait de sel et de poivre, puis il les coupait en part égales au nombre de convives (Huit au plus beau et au plus haut des temps)
Et tous en fermant sa gueule au possible et en prenant tout son temps de déguster ce trésor de cholestérol, de substantifique moelle, ce bout de paradis et de bonheur enfin réunis !
Je ne vous dis que ça !
Question 3 : Ma recette favorite.
J’entends par « recette favorite » un plat que l’on sait faire couramment et surtout facilement et rapidement pour un célibataire de ma vieille condition, par exemple.
Or donc, pour moi c’est le poulet « vallée d’Auge »
La vallée d’Auge étant en Normandie de chez France, il s’agit d’une fricassée de morceaux de cette volaille, flambés préalablement au calva et plombés de carottes, d’oignons et de céleri que l’on abreuvera en fin de cuisson d’un déluge de crème et de beurre.
On servira avec des pommes de l’air (poêlées) comme de terre (vapeur)
Le tout se mangera accompagné d’un bon cidre bien de chez nous et de tous les Guillaume bâtard conquérant ou pas, voire d’un rouge très léger (Un vin de Loire par exemple) d’un Chablis du Tonnerre de Brest ou de préférence de lionne pour ne pas dire de l’Yonne ou encore pour faire quantique en diable, d’un Gewurztraminer de chez Alsace.
Mais c’est vous qui voyez ; mangez et buvez hein !
Question 4 : Ma boisson favorite.
Pour être né tout nu et tout petit au nord de la Seine des Picards ou des Chtis, sans concession, ma boisson favorite est la bière.
J’en reparlerai de cette antique et celtique cervoise et sur ce blogue évidemment ! Rassurez-vous : Je ne cracherai jamais sur aucun vin de toute couleur, poil, âge ou cépage ou sur aucun whisky, sur aucune gnole goûteuse de tous ses grains ou fruits, sur aucun pastis, sur aucun porto ou autre Baume de Venise !
Quant à la flotte, ma moitié d’Auvergnat ne pourra boire que celle de Volvic ou d’autres volcans minéraux ! Ah mais, fouchtra merde quoi !
Question 5 : Le plat que je rêve de réaliser et que je n'ai toujours pas fait.
Ce plat est en fait mon dessert préféré : Les œufs à la neige ! (Ou îles flottantes pour les académichiens)
C’est le dessert que ma môman me préparait à chaque anniversaire !
Le problème quantique est que sur ce genre de plat on ne peut planter des bougies hein !
Or donc, notre mère faisait en même temps un de ces gâteaux au chocolat à faire pleurer et hurler de bonheur tous les loups de la terre et sur lequel on plantait les flambeaux que je soufflais d’un seul souffle (évidemment hein !)
Comme mes chancres de frères adoraient ce gâteau au chocolat, j’attendais qu’ils s’en empiffrent à en vomir pour me taper ensuite tranquillement tous les œufs à la neige ! (Trop fort le loup !)
Ceci étant, je ne sais pas pourquoi je n’ai jamais voulu me lancer dans une telle aventure d’œufs, de neige et d’îles flottante ou pas…
Question 6 : Mon meilleur souvenir culinaire.
Cette question « tombe » bien tiens ! (C’est le cas de le dire !)
Car en fait, mon plus grand « coït » gastronomique se passa en Auvergne après que mes parents et moi visitâmes la stèle où repose à jamais les mânes, voire les cendres de mon grand-père paternel (1887-1945). A Aubière près de Clermont-Ferrand…
Je ne me souviens plus ni du nom ni du patelin de ce restaurant (étoilé chez Michelin évidemment, merci Papa) où j’ai dégusté à en faillir un turbot au champagne !
Pour les cancres las qui mâchent bêtement leur malabar au fond de la blogosphère, je précise que le turbot est un poisson impérial, sublime, divin, galactique !
Le champagne, je ne le présente pas hein !
Les deux ensemble…
Putain de vie et de planète !
Voilà les gens, j’ai cuisiné comme j’ai pu ma patate chaude et maintenant je l’envoie en taguant six garçons de la balle, de salle, de bonne table et surtout de dessous de la table et de ma liste de liens à droite, pub :
Je tague Prax (On va sans doute bouffer basque)
Je tague Daniel Paillé (On va sans doute bouffer québécois et de bonne famille)
Je tague Gino Gordon (On va sans doute bouffer Picardo-Corse)
Je tague Mandolino (On va sans doute bouffer jeune, chic et ch’ti)
Je tague Didier Goux (On va sans doute bouffer haut ou bas normand)
Je tague Servum Pecus (On va sans doute bouffer en suisse bio ou bio en Suisse)
Illustration : Pieter BRUEGEL l’Ancien (Vers 1525-1569) Mariage paysan, (1568) Huile sur bois (114 x 164 cm) Kunsthistorisches Museum, Vienne (Autriche)
Fin de loup (C'est de circonstance hein !)
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