Bloguépitaphe

24 Mai 2006 Publié dans #Bloguerie

Classé dans la série : « Blogue de survie »

Moi j’aime pas quand un blogue disparaît…
Bon d’accord, le blogueur fait ce qu’il veut (on ne lui a rien demandé comme disait l’autre), mais ça fait toujours mal de voir un monde (même virtuel) s’enfouir dans le néant de chez Plusrien.
En un an de vie bloguienne, le dieu des blogues (tiens, il va falloir l’inventer celui-là) sait que j’en ai vu partir (et des bons très souvent !)
Ça fait toujours mal.

Le Disciple (en lien aussi à droite, pub) jette l’éponge (plutôt son clavier et son mulot)…
Moi, j’aimais bien ce disciple-là.
Il tenait un blogue simple, beau, agréable, reposant.
Il était d’une foi profonde et belle.
Un grand et fier marcheur devant l’Eternel sur des chemins lumineux d’amitié et d’amour.

Il mettait un point d’honneur à agrémenter les images souvent sublimes qu’il publiait par des textes courts (le chanceux !) poétiques, édifiants, intelligents et forts.
Son blogue était de la veine de ceux de Blue Moon ou de Terre inconnue (en lien à droite, pub)

D’ailleurs, il y a quelque temps, le Disciple m’avait proposé de publier sur Terre Inconnue.
En ayant déjà partout, j’avais refusé poliment (je crois ?),
J’ai mis cependant le lien à droite (pub), car j’aime bien ce genre de blogue.
Bon, alors au revoir le Disciple…

J’espère qu’il aura la délicatesse de laisser en ligne son blogue quelque temps.
Délicatesse que M. (tranche de vie, toujours en lien à droite, pub) a eu d’ailleurs et merci à lui.

Un blogue qui disparaît, c’est comme une étoile qui meurt dans le ciel en s’effondrant sur elle-même.
Et toute étoile est un soleil.
Moi, j’aime pas les nuits sans lune ou sans étoile.

Fin de loup